Ce sont
surtout les mouvements de contraction et de
dilatation de l'abdomen qui lui permettent de
franchir l'orifice circulaire après avoir brisé une
première enveloppe de chitine, celle de la
chrysalide, peau brunâtre que l'on devine,
abondonnée, à l'intérieur du cocon. Puis, ses
pattes agrippées au sol ou au cocon, le papillon
achéve de se libérer, encore tout humecté de sa
propre salive.